(suite) Avertissement et réalité

 

J'ai eu l'impression de vivre un cauchemar les jours suivants. Les traces laissées par son martinet sur mes fesses me prouvaient malheureusement que je n'avais pas rêvé.

 

 

7

 

Pas une heure sans que je puisse m’empêcher de penser à ce qui arrivait. Pas une heure non plus sans pouvoir essayer d'imaginer avec anxiété la semaine suivante.

J'espérais qu'elle m'enverrait un message, pour me dire qu'elle s’était bien moqué de moi et qu'elle ne voulait plus me revoir après m'avoir donner cette punition. Je me disais que cette situation était trop absurde pour être réelle.

.

Je pensais que j'avais peut être raison. Je commençais même à douter de ses dernières phrases lorsqu’elle m'avait dit de venir le mardi suivant. Et tout de suite après je me rappelais clairement son avertissement »ce sera beaucoup plus dur qu'aujourd'hui »

Je dois avouer qu'elle m'avait vraiment impressionné. Elle incarnait parfaitement l'image de la dominatrice inaccessible de mes fantasmes.Une très belle femme, un regard pénétrant, des jambes magnifiques, une voix à la fois chaude et distante mais je n’étais plus dans un fantasme.

 

Le jeudi soir, ma décision était prise, je lui envoyais un message dans lequel je la remerciais de m'avoir donné une bonne leçon, que je ne me sentais pas du tout soumis dans la vie réelle et qu'il était inutile qu'elle perde son temps avec une personne aussi nulle que moi.

(Et toc! ,une petite voix inutile ne disait dans ma tete que  je reprenais le controle)

 

J'ai allumé mon ordinateur vers midi et pour me rassurer ouvert mon courriel.

 

Mon rythme cardiaque s'est accéléré brusquement en voyant qu'elle m'avait écrit. Je cliquais sur son message .

 

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Expéditeur : Madame H

« lopette, tu te permets de m’écrire sans mon autorisation.

Je ne savais pas encore ce que je souhaitais faire de toi car effectivement tu ne présentes aucun intérêt mais je considère ta tentative de dérobade comme une insulte ,alors ma décision est prise.

 

1) Pour avoir osé croire que tu pourrais m'échapper, je te convoque non pas mardi mais demain à 14h

2) J'ai proposé à une amie qui me rendait visite de rester pour assister à ton dressage.

 

Elle hait les hommes , aussi j'espère qu'elle appréciera de te voir couiner de douleur .

Je viens de perdre 10 mn en plein week-end a t'écrire. Tu le paiera au centuple

Dernière instruction  : .

Rase totalement les poils de l'anus.Je veux que tu sois lisse comme un galet . tu écris au feutre indélébile sur ton bas ventre

CHIENNE EN DRESSAGE .

 

  PS : ci joint quelques photos de la semaine dernière, sois ponctuel, respecte totalement mes instructions sinon j'aurai peut etre envie de les diffuser, tu aimerai que tes photos soient publiées?

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Je reste une heure perdu dans mes pensées devant l'écran, cette femme est folle, c'est certain. Je n'arrive plus à raisonner.  je n'ai aucune envie de me rendre à cette convocation

 

Une heure plus tard, j'en suis arrivé à la conclusion que je n'ai pas le choix

Pourquoi? ne me demandez pas, encore aujourd'hui je l'ignore.

Je sais simplement que je dois pour le moment obéir .

  Quelques heures plus tard, je vais dans la salle de bain.

Je prends mon rasoir et ma mousse, je rase, je prend des poses insensées pour que rien n'échappe .

 

. Je promène mes doigts sur mes fesses et en les écartant je vérifie qu'il ne reste aucun poils autour de mon anus.

C'est une sensation étrange, bizarre, de sentir mon orifice aussi exposé et sans défense.

 

Je retourne mes tiroirs et finit par trouver un gros marqueur rouge .Il me servira demain à écrire sur mon ventre ce qu'elle m'a demandé .

 

Je passe une nuit agitée, je me réveille souvent malgré le calmant que j'ai pris avant de me coucher.

J'échafaude des plans pour ne pas me rendre à cette convocation. Peut être lui dire que je suis souffrant ? Cloué au lit par un méchant virus ? Mais j'ai peur de sa réaction.

 

Je passe la matinée  dans un brouillard épais, à regarder ma montre, chaque heure qui défile augmente la boule qui me sert le ventre.

A midi je suis incapable de manger, je prend le marqueur et commence à écrire sur mon ventre.

Ce n'est pas évident, je dois me concentrer pour ne pas trembler.

Lorsque j'ai fini, je me regarde Je suis profondément troublé 

 

Lorsque je sors dans la rue vers 13h, je suis surpris car malgré mes vêtements, je me sens nu.

Comme si les passants pouvaient voir au travers de mon pantalon et lire les mots honteux écrits sur mon ventre.

 

  J'arrive très en avance dans le quartier ou elle réside.

Je rentre dans un bar et commande un cognac.La puissance de l'alcool me brûle un peu la gorge et me chauffe le ventre.

 

13h40 , je suis dans sa rue, devant son immeuble bourgeois.

Dois je attendre 14h précise ? Me présenter avec un peu d'avance en espérant que cela lui montrerai ma bonne volonté ?

Je regarde les fenêtres de la façade, mais impossible de repérer les siennes.

Quelques minutes plus tard mon portable sonne.appel masqué. J'hésite mais je répond.

-lopette, je te vois en bas, c'est bien, tu a raison de ne pas prendre le risque d'arriver en retard.

Je n'ai pas le temps de répondre.elle a raccroché.

Je regarde l'heure .13h 48. Les minutes qui suivent me semblent à la fois très longues et trop courtes.

Me regarde t'elle depuis sa fenêtre ? Je n'ose pas lever les yeux.

Autour de moi des gens passent, parfois j'ai l'impression qu'ils savent. Le rire de deux femmes qui traversent la rue plus loin me font sursauter. Non, ce n'est pas elle,

J'ai envie d'uriner mais c'est trop tard pour retourner dans les toilettes du bar, il faut que je me calme.

 

14h.je vois ma main appuyer sur la sonnette, aucune voix dans l'interphone .Juste le bruit du verrou de la porte qui s'ouvre. Je monte dans l'ascenseur comme un zombie.

 

Ce n'est pas celle que je dois appeler Madame qui ouvre la lourde porte blindée de l'appartement. Une femme, blonde, d'un quarantaine environ . Je murmure un bonjour auquel elle ne répond pas.

 

-Entre, referme la porte « puis elle s’éloigne de quelques pas. Elle porte une petite robe noire sobre mais qui doit être de grande marque et qui met en valeur sa silhouette fine. Elle se retourne et me regarde .aucune expression sur le visage.

-Ta maîtresse finit juste d'imprimer quelque chose ». Et elle part s’asseoir dans le vaste canapé que j’aperçois dans le salon ou elle reprend la lecture d'un magazine.

 

Je reste debout, immobile dans l'entrée

Madame arrive vers moi , un dossier à la main.

-Déshabille toi complètement,, pose tes affaires dans ce casier dit elle en me désignant une petite armoire métallique qui dénote avec le luxe de l'appartement.

-Et enfile les vêtements qui sont sur la chaise

 

 

Elle part en laissant la porte entre ouverte. Après m’être mis nu, j'examine les objets

Il y a un porte jarretelle en latex noir, une paire de bas et d'escarpins, un bâillon et 4 gros bracelets de cuir.

J'enfile maladroitement la lingerie, faire tenir les bas sur le porte jarretelle me prend plusieurs minutes.

Dans le salon je les entend parler mais je ne peux comprendre leur conversation

 

-Alors salope on s'impatiente. pas encore prêt ? »

j'ai du mal à attacher le bâillon. Je l’insère dans ma bouche et l'attache sur ma nuque.

- Pose les sangles aux poignets et chevilles.

Quand j'ai fini de fixer les attaches sur mes membres, je me dépêche de mettre les escarpins qui sont presque à ma taille. Cependant les talons sont vertigineux et c'est d'une démarche hasardeuse que je pénètre dans le salon.

 

Elles sont toutes les deux dans le canapé. Madame porte un pantalon moulant, un petit blouson et une paire de bottes montantes. Le tout en cuir noir.

Je me sens honteux. Sur la table basse , le dossier est ouvert et mes photos sont étalées

.Madame s'est levé , et en quelques secondes elle ressert l'attache du bâillon

Elle me regarde quelques secondes,

-C'est bon, il peut respirer correctement par le nez. Je ne voudrai pas qu'il s’étouffe avant la fin !

Puis elle revient s’asseoir sur l'un des accoudoir du canapé

-Viens ici chienne.et marche de façon plus élégante en ondulant tes hanches

J'essaie tant bien que mal de lui obéir ce qui déclenche son rire.

 

-Stop, ne bouge plus, les mains sur la tête, qu'on puisse t'examiner un peu

-Tu vois dit madame en s'adressant a son amie,  un ventre de lopette .C'est une preuve de soumission.

 

-C'est toi qui lui a demandé d’écrire en gros CHIENNE  EN DRESSAGE ? lui demande son amie 

 

-Oui,  je vais t'expliquer pourquoi. tu imagines que cette lopette use de son pouvoir pour harceler les secrétaires de son service ?

 

J'essaie de protester mais avec le bâillon et l’adhésif aucune parole ne peut franchir mes lèvres.

 

-Je me suis un peu renseigné, il a même abusé de l'une d'elle qui a ensuite fait une dépression nerveuse.

La pauvre a même perdu son boulot pendant que lui continuait à pavaner »

 

C'est totalement faux, je suis outré, jamais je n'ai abusé de quelqu'un, mais je ne peux pas parler, je secoue la tête énergiquement en signe de négation.

 

-Regarde, il nie, le problème avec ce genre de chienne,c'est qu'il continue à mentir, même quand tout l'accuse.

Le regard de son amie devient brutalement sombre

 

«-tourne toi salope, montre nous ton cul »ordonne Madame

je me retourne , en essayant de garder mon équilibre sur mes talons

 

-tu comprends pourquoi cette merde mérite à son tour d’être traité sans pitié?

 

Madame continue :

-Salope, écarte les jambes et mets les mains sur le sol 

Je me baisse, perché sur les talons de 10cm, j'ai du mal à ne pas plier les jambes pour que mes mains touchent la moquette. Cela pour conséquence de tendre mes fesses vers l’arrière.

  2008.05.27 19.56.cameriera dx

 

-Regardes son trou  il s'est aussi rasé, alors tu vois bien qu'il veut qu'on le traite comme une salope ?

Allez la chienne, fais oui avec la tête, sinon je te dérouille tout de suite

 

De nouveau, la menace est présente, je n'ai pas le choix,Au fond de moi je bouillonne mais  j'incline plusieurs fois le menton.

Son amie regarde les clichés sur la table.

 

Madame s'est levée. Elle m'examine

-Elle est trop grosse cette chienne, regarde son ventre, un ventre tout mou de salope. Il a besoin d’exercice. 

Elle a une cravache bizarre a la main, plus longue que celle que j'avais vu la semaine dernière

 

-Pour ton info chienne, j'ai sorti quelque uns de mes accessoires!

. Allez , en position pour faire des pompes !

 

Je commence à faire quelques pompes quand la cravache s'abat sur mes fesses

-Plus vite, je vais compter, un deux, un deux, un deux ! elle accélère le rythme ,je ne peux pas suivre.

Chaque fois que mon ventre touche le sol ,une volée de coups cingle mon corps

-Plus vite j'ai dis !

Elle appuie avec sa botte au milieu de mes épaules pour rendre l'exercice plus difficile, j'ai de plus en plus de mal a me relever.

Mes épaules ne peuvent plus me soulever, la cravache vole autour de moi, sur mon dos , mon cul, mes cuisses.

J'essaie de me protéger avec mes mains.Je m’effondre sans pouvoir me relever

 

-On a affaire a une douillette, il est pas encore assez dressé pour supporter sans se défendre

 

- A genoux  ! tete au sol, passe tes mains à l’intérieur de tes cuisses et tend les vers tes pieds »


Rapidement ,dans cette position ,elle utilise une barre d'acier qu'elle attache à mes poignets et chevilles.

mes jambes pliées sont écartées, ma croupe relevée est offerte, mes mains ne peuvent absolument pas me protéger.

 

-mon chou, peux tu prendre quelques photos de cette chienne pendant que je la corrige ?

Son amie a pris l'appareil photo et se place de coté, devant, derrière, me photographiant sous tous les angles.

 

Madame commence à me fouetter avec sa cravache sur les fesses, les coups sont portés avec vigueur et sont très douloureux.

Je ne peux rien faire et je sens le goût de la boule de caoutchouc dans ma bouche.

Elle s’arrête quelques secondes pour parler à son amie

- Tu peux aussi corriger cette lopettesi tu veux te défouler un peu .

-J'en ai envie mais je n'ai jamais fait cela

 

-Il y a un début à tout, choisi l'instrument de ton choix et dis toi bien que tu ne frappera jamais assez fort »

 

Son amie se place derrière moi, et brutalement une brûlure déchire mes fesses en de multiples endroits.

 

-Excellent choix , c'est un cat o nine scorpion , silencieux et puissant , tu ferai une excellente dominatrice dit Madame.Les coups pleuvent sur mon corps,

Je me trémousse de douleur. Mes hurlements sont transformés en gémissement à peine audibles

 

J'aperçois seulement parfois les bottes de Madame et les jolies jambes de son amie

Je sens en apercevant leurs mouvements lorsqu'elles prennent de l'élan et je tremble de tous mes membres en attendant les impacts.

 

Je n'ai plus la notion du temps. J'ai de plus en plus de mal a respirer. Une sueur froide coule dans mon dos et sur ma poitrine.je tousse en avalant ma salive.

-petite pause «  dit Madame. Je boirai bien un verre , pas toi  ?

-oui moi aussi ça m'a donné chaud et je me sens énervée, c'est terminé ?, 

-il n'est que 15h30 et on a encore tout l’après midi  « 

 

Madame me frappe de sa botte sur le flan, puis prenant appui sur ma hanche, elle me pousse brutalement sur le coté. je m’écroule toujours ligoté et bâillonné sur le coté .

 

Malgré la présence du bâillon , un filet continu de salive s’écoule lentement de ma bouche.

-En plus elle est sale cette chienne, regardes comme elle bave sur la moquette. On lui fera tout nettoyer ensuite.

  Elle m'enléve le baillon et retourne s'aasoir

Elles sont  dans le canapé, je ne peux pas les voir. Madame a ouvert une bouteille de champagne et elles trinquent . Plutôt calmes au début, je les entends maintenant rire.

-Tu a vu comme on voit bien les marques du cat o nine sur son cul ?dit Madame

 

Moi aussi j'ai très soif, la gorge me brûle mais je suis surtout terrifié à l'idée qu'elles projette de continuer à me torturer

 

 -tu vois  il n'y a que les coups qu'il comprend. Gifle le pour moi s'il te plaît.

Quand tu lui parles ou que tu lui donnes des ordres, appelle la chienne ou salope, c 'est les seuls noms qu'il mérite

 

 Je suis assis sur les fesses, mes mains et mes chevilles toujours entravées à la barre d'écartement. .

Son amie se lève et me fait face, je reçois une paire de gifles sonores.

 

-salope, dit elle en me crachant au visage.Tu va dérouiller grosse merde!


Je ne sais pas quoi faire, c'est quoi cette histoire de fou? Cette femme est folle et je n'ose pas protester.

Je sens le cuir froid du blouson de Madame dans mon dos , elle a attrapé mes seins fermement. Elle tire , écrase, me secoue en m'arrachant des cris de douleur. Je sens son souffle chaud dans mon cou. elle murmure à mon oreille

-Silence, si tu dis la vérité tu dégages et tu ne me revois jamais

Elle reprend à haute voix

- lopette, je vais les allonger tes mamelles, tu va voir.

Pendant ce temps son amie est allé chercher ses gants de cuir qu'elle a enfilé lentement devant moi

 

-Regarde mon ami et .dis lui qu'elle peut te frapper !»

J'ai la trouille.  Entre une manipulatrice qui me fait passer pour un pervers et sa copine qui ne reve que de vengeange, j'ai vraiment peur. Ne pas les provoquer, supporter et se barrer.

-Oui maitresse vous pouvez faire ce que vous voulez »

Madame a repris possession de mes tétons qu'elle enserre fermement

Son amie est au dessus de moi.

-salope, j'ai mis mes gants pour que ma peau ne touche pas une ordure comme toi et pour pouvoir te frapper plus fort !

Elle a un sourire cruel quand elle commence à me gifler de nouveau. Parfois elle marque une pause , me relève le menton d'une main gantée et la gifle qui suit est sèche et brutale .

 

Ma tête dodeline , madame pince mes seins, pendant que son amie lève à nouveau la main.

Je ne sais plus quand j'ai commencé à pleurer, au début quelques larmes puis des sanglots

-je vais te faire chialer toute l'eau de ton corps salope .

 

Derrière ma vision brouillée, je ne vois pas venir les gifles. J’aperçois seulement quelques gouttes de sueur sur son front et la cruauté dans son regard.

Lors qu’enfin mon supplice s’achève, madame défait mes liens

 

je m'allonge, brisé, les joues en feu, je suis comme un boxeur KO sur le sol.

Elle jette une feuille de papier et un stylo à coté de moi.

- Lis à haute voix et mets ton nom ,recopie la dernière phrase et signe ! »

 

Je regarde le document.

 

C'est mon contrat d'esclavage. je lis et remplis le document.

-tiens, une copie pour toi, garde la précieusement, je veux que l'apprenne pas coeur.

Maintenant tu pars, et tu attends mes prochaines instructions.

Publié dans : BDSM - Communauté : BDSM amateurs
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