(Reprise du mélange réalité /fantasme/nouvelle ) Date réelle , au environ d' avril 2005

  merci de lire  Réalité de whiteworm

Quelques jours plus tard, je recois un nouveau message.

 

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esclave, ,je veux intensifier ton dressage.tu va dés ce soir dans un sex shop spécialisé,tu achète un gode gonflable,le plus gros que tu trouves. Je te conseille de le tester assidûment cette semaine. Achètes toi aussi quelques accessoires de lingerie,porte jarresce

sctelle, bas, des escarpins à haut talons en rapport avec ta nature de chienne.

 

Je veux aussi que tu t’épile totalement le ventre, le sexe, les couilles et bien sur le trou.

Tu devra comme à chaque fois à partir de  maintenant te présenter devant moi en portant sur toi tes accessoires. Je ne veux pas perdre de temps avec toi pour que tu te prépare en début de séance. Aucun social time, tes limites et tabous je m'en moque.

Maîtresse H

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J'ai une boule d'angoisse dans l'estomac. Il est déjà 20 heures, je ressors rapidement.

 

Moi qui suis discret et timide, je me sens vraiment con quand je demande cet article à la vendeuse d'un des plus grand sex shop de la capitale.

- Un gode gonflable ? Bien sur, nous avons plusieurs modèles, dont celui ci , il fait 4cm avant gonflage, et il peut se dilater jusqu'à 10cm environ, c'est un produit robuste qui convient bien pour un usage intense.

j'ai baissé les yeux en disant que je le prenais et en demandant à voir le rayon lingerie féminine.

-En grande taille ?

-Oui Madame, en grande taille.

 

 

De retour chez moi, j'ai lavé le gode. Je me dis que je dois le tester .

Je ne veux pas avoir à découvrir son effet lorsqu'elle va me convoquer. Je me suis mis du gel et j'essaie de l'introduire. Mais malgré mes efforts je n'arrive pas à forcer mes sphincters. Je retente plusieurs fois.

 

Je pense à ma situation , j'imagine que Maîtresse va vouloir tester ce truc bientôt, et d'un seul coup, l'objet pénètre.

Je me sens paralysé. Je le garde ainsi quelques minutes sans oser le gonfler. Je relis mon contrat et m'endort.

 

A mon réveil, je regarde le gode sur ma table de chevet , et sans réfléchir , me lubrifie .

C'est assez douloureux mais je procède lentement. Quand il est fiché dans mon anus, je prend la poire et commence a pomper . La sensation est étrange. Des le premier coup de pression , je sens que mon cul s’élargit.

 

 

Progressivement , les jours suivant je m’entraîne. je gonfle par série de 2/3 coups et j’attends ensuite que mes muscles me permettent de continuer. j'ai du pomper un dizaine de fois , je ne peux vraiment pas davantage.

 

J'ai également acheté une creme dépilatoire que j'ai utilisé sur toutes mon intimité.

 

 

La semaine suivante, Madame H me convoque.

J'ai mis ma lingerie sous mon pantalon et j'enfile les escarpins en arrivant devant son immeuble.

 

La porte s'ouvre, elle me fait entrer et me laisse seul dans le couloir .

-déshabille toi je reviens dit elle en repartant dans le salon.

 

Quand elle revient, elle m'inspecte, .

 

-Salope, a genoux ! Elle s'est rapproché de moi, un verre a la main

 

-Apprentissage de la position de chienne , tète sur le sol, main sur la nuque, genoux écartés , le cul cambré.Exécution !

Je me dépêche d'obéir.

-Debout !

Je me relève.

Plus vite salope !

A peine relevé, son nouvel ordre arrive.

En position !

Elle continue ainsi une dizaine de fois, me frappant du plat de sa chaussure lorsqu'elle considère que mes genoux sont trop resserrés ou mes reins insuffisamment cambrés.

-ton gode, tu l'enfile, je te regarde

-sans lubrifiant Maîtresse je ne pourrai pas

-crache dessus, use ta salive, dit elle calmement

j'ai usé ma salive comme elle me l'a ordonné mais sans succès. Alors elle a jeté devant moi un pot de lubrifiant. J'ai passé une noisette de gel sur le gode et je l'ai mis l en place. Elle s'est approché et commencé à actionné la pompe

lentement en me fixant et en m'obligeant à supporter son regard, elle m'a dilaté bien au delà de ce que j'avais réussi a faire moi même. Je me sens écartelé au plus profond de moi.

 

-Debout !

J'ai du mal a me relever. En me relevant ,je sens la poire oscille qui ridiculement entre mes jambes.

-Pas de risque que tu le perdes , je l'ai dilaté dans ton cul de chienne

Tu trouveras aspirateur, shampoing moquette, dans le placard de la cuisine. Produits à vitres sous l’évier. Tu nettoies tout a fond, tu fais aussi toutes les vitres de l'appartement. Intérieur et extérieur.

En restant bien sur dans la tenue ou tu es. D'autre part j'espère que tu connais ton contrat par cœur. Je veux que tu puisses réciter n'importe quel passage de mémoire sans oublier une virgule si je le demande .

 

Elle enfile son manteau , prend son sac à main et part en claquant la porte

 

Il est 19H .combien de temps sera elle absente ?

Alors lentement je me dirige vers la cuisine et son placard.

 

J'ai mis plus d'une heure à nettoyer les moquettes. J'ai ensuite commencé par les vitres intérieures du salon, très mal à l'aise de devoir me montrer ainsi. Heureusement la nuit est presque tombée en cet fin d'hiver et je ne vois personne dans l'immeuble en face de l'autre coté de l'avenue.

Par contre en ouvrant la fenêtre pour commencer l’extérieur, le froid me saisit.

Cela fait maintenant 2h et demi que je frotte et astique. J'ai enlevé mes escarpins qui me font souffrir ainsi que le gode . C'est au dessus de mes forces de finir,

Je suis en train de ranger les ustensiles lorsque le bruit de la serrure de l'appartement me fait sursauter.

 

Madame me regarde un instant

-Tes escarpins ? Il sont ou ?et le gode?

-Je suis désolé Maîtresse, je n'arrivais pas à travailler avec, j’avançais trop lentement

- donc quand tu es seul, tu désobéis et tu flemmardes, c'est ça la vérité

-Non madame, je vous jure, ce n'est pas du tout ce que je voulais dire

La voix de Madame est cinglante

-Silence ! Tu as déjà oublié que tu réponds seulement si on t'y autorise ?

 

Elle commence à inspecter l'appartement. . En regardant sur le haut de la fenêtre, elle aperçoit quelques taches.

-tu te moques de moi ?

-désolé Maîtresse... double gifle.

-Salope, a genoux ! Héléna s'est rapproché de moi

-je t’écoute, ton contrat

je commence à réciter, les yeux de maîtresse s'allument

-Blablabla, On passe les détails, je veux t'entendre à haute voix réciter la clause de suppression des limites

je cherche quelques secondes pour retrouver le fil de ma mémoire

« Clause particulière de suppression des limites : Néanmoins, il est clairement précisé que si la Maîtresse remarque dans l'attitude de l'esclave un retard, un mensonge, un refus, une résistance,un manque d’obéissance alors l'esclave accepte à l’ avance que sa maîtresse le sanctionne en pratiquant tous types de châtiments /humiliations dont elle seule choisira la nature, la durée et l'intensité et cela de force et contre son gré et sans aucune forme de limite « 

 

-Tu comprends salope que tu es largement fautif de mensonge, manque d'obéissance ?

-Oui maîtresse, ma voix est faible, j'ai compris qu'il est inutile de protester

 

Maîtresse me regarde, elle a un fouet à plusieurs lanières à la main

-Il y a tout ce qu'il faut ici pour t'immobiliser mais je vais te corriger, sans t'attacher , pour que tu te soumettes totalement, je veux que tu supportes en silence. En position salope  !Enlève ton plug!

Instinctivement, je me suis mis à quatre pattes.

Maîtresse est électrique, elle me pose un talon sur les reins.. Je sens vraiment qu'elle prend un immense plaisir à faire souffrir

- Cambres bien ton cul et garde la tête sur le sol! »

 

- C’est quoi ton année de naissance  ? »

- 63 maîtresse  »

-Alors 63 coups  !

 Tu comptes, si tu triches ou si tu oublies de compter, je recommence à zéro…et cambres toi chienne»

 

Les coups pleuvent, je compte,5, 6, 7, j’ai rapproché mes genoux et je fais le dos rond.

-Salope, j’ai dis bien cambré tu es sourd ?genoux écartés ! »

Elle frappe alors j’obéis, j'écarte mes genoux, la tête toujours au sol, mes fesses sans défense et mes reins creusés, je gémis…le fouet laboure ma chair, 11, 12, instinctivement je cherche à me protéger

- En position chienne, ce n'est pas fini.

lentement je me remet a genoux, tête sur le sol, genoux écartés, en attendant le claquement du fouet. . 19, 20, 21....

 

- tu a oublié de compter !On recommence à zéro ,en position !

1,2,3..

45, je roule sur le coté en hurlant de douleur.

-Chienne, quand je dis silence, c'est silence. Encore une faiblesse que tu va payer très cher !

elle m'abandonne quelques minutes, je n'ose pas bouger. Elle revient derrière moi.

 

Je sens qu'elle enserre mon sexe et mes testicules dans un collier de cuir.

Quelque chose de métallique aussi dont je sens le contact.

 

-Regarde!

 

Je lève les yeux, dans sa main elle tient une télécommande.

Elle appuie sur une touche, j'entends un bip et aussitôt un choc électrique à la base des testicules me fait sursauter. Elle recommence aussitôt. C'est très désagréable.

 

-camisole de dressage, quand j'appuie cela envoi une décharge. Sur le coté avec la molette, je règle la puissance..tu imagines chienne quand on augmente la puissance ?

 

-oui Maîtresse, pitié Maîtresse

 

-tu portera ce collier quand tu ne sera pas encagé, je m'en servirai souvent pour accélérer ton dressage ou simplement pour te voir frémir

-Pitié Maîtresse, pitié

 

Mais j'entends le bip, et cette fois, la secousse se répercute dans tout mon bas ventre, elle appuie plusieurs fois de suite, ne me laissant pas le temps de reprendre mon souffle.

 

Je remarque qu'elle a enfilé un gode ceinture dont les dimensions sont impressionnantes

Elle recommence à me frapper, je gémis de douleur, mes fesses sont lacérées par le cuir sadique , je me tortille de douleur, et à chaque mouvement involontaire de ma part, une décharge électrique me secoue.

 

-Tu va supplier ta Maîtresse de te défoncer chienne !

Je vois qu'elle tourne la molette à fond, elle me frappe sans pitié, les coups sont bien au delà de ce qu'il m'est possible de supporter, je demande pitié , elle appuie longuement sur le bouton.

 

Je suis prêt à tout pour échapper à cette double torture

-Je vous supplie Maîtresse, Je vous supplie, s'il vous plaît

 

Mais Madame continue d'alterner le fouet et les décharges

-je te frappes tant que tu ne supplies pas mieux que ca

Je suis terrorisé, je me traîne devant elle

-Pitié Maîtresse, défoncez moi, défoncez moi maîtresse, je vous en prie Maîtresse, prenez moi

 

j'ai tourné ma croupe vers elle, je l'implore en chialant. Elle me bâillonne rapidement

Elle s'est mise en position derrière moi. Et a posé une noix de lubrifiant sur mon anus meurtri.

Le gode est si gros qu'elle ne parvient pas à me pénétrer, Elle m'envoie une série de décharges qui me font gémir, elle pousse , j'ai la sensation d’être déchiré, elle rentre en moi, je crie, elle me travaille l'anus lentement , pénétrant chaque fois davantage

 

 

Durant quelques secondes, le mouvement de pénétration s’arrête. J'essaie de regarder derrière moi .

Lorsque Madame aperçoit mon regard , elle envoie une longue décharge

Elle reprend son va et vient puissant, parfois elle ressort complètement pour ensuite me pénétrer davantage. Je sens maintenant les coups et le contact de son bassin contre mes fesses.

Elle m'empale à fond brutalement durant un long moment pendant que mes gémissements sont étouffés par le bâillon.